En visite à Paris, le Premier ministre Turc affirme qu’Israël est la « principale menace pour la paix » au Proche-Orient

117 lectures, par nicolas le 8 avril 2010 · 3 commentaires

dans la rubrique Antisémitisme, négationnisme, Dhimmitude et islamisation de l'Occident, Géopolitique et bruits de guerre, Islam, Israël, Nouvel Ordre Mondial, Proche et Moyen-Orient

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Le Point / Désinfos

Mercredi, à Paris, le Premier ministre turc Recep Tayyip Erdogan a violemment attaqué Israël, qualifié de « principale menace pour la paix » au Proche-Orient. « C’est Israël qui est la principale menace pour la paix régionale », a-t-il déclaré à quelques journalistes, avant un déjeuner de travail avec le Président français. « Si un pays fait usage d’une force disproportionnée, en Palestine, à Gaza, utilise des bombes au phosphore, nous n’allons pas dire bravo. Nous lui demandons comment il peut agir de la sorte », a-t-il affirmé. « Il y a eu une attaque qui a fait 1.500 morts (à Gaza) et les motifs invoqués sont des mensonges », a-t-il ajouté.

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1 Koheleth 8 avril 2010 à 16 h 55 min

Il ne manque pas de culot Monsieur Tayyip Erdogan, cepandant pour un musulman, cela se comprend aisement, car la haine d’Israël et des juifs est la chose la mieux partagée.
Toutefois, Tayyip a soit perdu la mémoire, soit il est complètement malhonnête, a t’il oublié comment ils ont traité les kurdes par le passé et comment ils continuent encore à les traiter aujourd’hui, ils en ont tellement massacré qu’on en ignore le nombre exact de victime, aurait il encore oublié le génocide des arméniens.
Qu’on se le dise,Israël est la seule démocratie du proche Orient, c’est le seul pays qui fonctionne avec des institutions libres, une presse libre, un peuple libre, mais un pays debout, qui refuse le joug et les mensonges de ses ennemis et de leurs thuriféraires dont le seul rêve est de le revoir disparaître.
Alors cher Tayyip, commence par instaurer une vraie démocratie chez toi,libère les intellectuels et autres opposants qui sont musellés; commence par liberer les kurdes et laisse les s’exprimer, car eux au moins, contrairement aux palestiniens , ne demandent pas la disparution et l’anéantissement de la Turquie, mais ils demandent simplement à être reconnu dans leur spécificité purement kurde et être reconnu comme des citoyens égaux et respectés.
Comme dit un proverbe du Sahel: « le chameau ne voit pas sa bosse », et la tienne, Monsieur Tayyip, elle est bien très grosse.

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2 nicolas 8 avril 2010 à 17 h 28 min

Turquie

- Dans une interview au Figaro le 6/4/10, le 1er ministre Erdogan dit: « Je voudrais souligner que nos relations avec Israël ne sont pas interrompues, les échanges continuent. Mais lorsque des erreurs sont commises dans la région, il n’est pas juste de fermer les yeux. Un proverbe turc dit : « Un ami véritable dit peut-être ce qui est douloureux, mais il dit la vérité ». Nous disons donc la vérité. En ce moment, Israël ne soutient malheureusement pas la paix au Proche-Orient. Prenons l’exemple des constructions en Cisjordanie. Le monde entier réclame qu’elles soient stoppées. Dernièrement, Barack Obama s’est prononcé clairement sur ce sujet, tout comme Hillary Clinton. Nous connaissons également la position des pays européens. Est-ce qu’Israël s’arrête pour autant ? Non. L’administration israélienne doit contribuer à la paix. Mais celle-ci est constituée actuellement de trois têtes. Qui faut-il écouter ? Qui faut-il croire ?  »
- La porte de l’Europe étant pour le moment fermée, le 1er Ministre Erdogan et le Président Gul ont sillonné le monde pour affirmer l’importance de leur pays. Depuis 2005, la Turquie préside l’OCI, organisation panislamique de 57 membres, basée en Arabie. En 2009, elle obtient un siège au Conseil de Sécurité, parmi les 10 sièges qui tournent. Elle siège au conseil de l’AIEA…Et vis-à-vis du programme nucléaire iranien, la Turquie pratique une Realpolitik de l’apaisement, accepter un Iran nucléaire et s’en faire un ami…

- Lors d’une conférence réunissant les instances religieuses turques, la fatwa d’Ibn Taamiya prônant la violence contre les non Musulmans a été rejetée comme nulle et non avenue. « Toute personne qui fait foi à la fatwa demandant à un Musulman de tuer tout être humain qu’il soit Musulman ou non est dans l’erreur »

- Avec l’aide de juristes récemment nommés à la Cour Constitutionnelle, Erdogan cherche à modifier la Constitution pour pérenniser son parti au pouvoir.

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3 elealine 20 mai 2010 à 22 h 26 min

Et oui !! La bête avait quitté la méditerrané pour s’établir un temps dans un pays germanique, puis ayant fait ce qu’elle avait prévu de faire, dans un 1er temps en Europe. Elle retourne vers l’ancienne Constantinople, Istanbul. Lieu des 1er conciles, 4 conciles œcuméniques ….
10 pays ……
La Turquie désire « ardemment » entrer dans le « cercle » de l’Europe car elle doit faire alliance … pour que s’accomplissent les prophéties bibliques.
Istanbul = Byzance = Constantinople

Nommée Byzance durant l’antiquité, la ville prit le nom de Constantinople lorsqu’elle devint la seconde capitale de l’empire romain sous Constantin (330), puis, à la chute de Rome, la capitale de l’Empire byzantin.

Et ce n’est que le 28 mars 1930 que le nom d’İstanbul devint officiel.

C’est là qu’a eu lieu le très important concile œcuménique en l’an 381, dit « concile de Constantinople ».

Le 1° concile de Constantinople a déjà une importance mariale (1)

Le premier concile de Constantinople, en l’an 381, dit au sujet de Jésus :

« Il s’est incarné de l’Esprit Saint et de la Vierge Marie. » : ces paroles ont déjà une conséquence mariale importante.

L’Incarnation se réalise indissociablement de Marie la Vierge et de l’Esprit Saint.

En lisant ce qui précède immédiatement, Marie est liée non seulement à l’Incarnation en tant que telle, mais à son but :

« pour nous les hommes et pour notre salut ».

Les pères de ce concile voient donc que Marie est associée à la Rédemption.

Il est aisé de voir le lien avec ce qu’affirme l’Ecriture lorsque l’ange annonce Jésus « conçu de l’Esprit Saint », venu pour « sauver son peuple de ses péchés » (Evangile selon saint Matthieu, 2,21).

(1) Extrait de F. Breynaert, A l’écoute de Marie, tome I,

préface Mgr Rey, Brive 2007, p. 51

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